Kaoru Tanaka

Invité

Nom : Tanaka

Prénom : Nariko

Âge : 20 ans

Village/ Organisation : Kyomû

Grade souhaité : Bras-droit du chef de Kyomû [Bras droit de Sasuke]

Physique :

Chevelure flamboyante, loin d’être rousse, mais de couleur feu. Ils rappellent un braisier, qui consume tout ce qu’il touche. Ce fut la première chose que vous remarquiez chez moi lors de notre première rencontre. Mes yeux, de la teinte Émeraude, brillent constamment d’une lueur entre l’ironie et le défi, se posant parfois, bien que très peu souvent, sur la tristesse, la déception, la surprise, et tous les autres en fait. Cette même paire de yeux, que je tiens de mon père, font souvent l\'envie des hommes. Ils ne se révulsent pas, ils ne deviennent pas noirs ou blanc, mes iris ne font que paraître vide lors de l’utilisation de sa magie particulière et tu as l’impression d’y tomber profondément vers une chute sans fin ni aucuns rebords auxquels t’accrocher dès que tu croises mon regard. Silhouette svelte et bien proportionnée, je suis plus que désirables et enviée par certaines, d’autres étant confortable avec leur apparence, ou ayant un corps comparable au mien. Que de grâce dans le moindre mouvement que j’effectuerai, celle-ci lui étant entièrement innée. Mes gestes sont précis, fluide et habiles, ce fut dans un autre roman qu’on m\'a qualifiée de marc ombre, mais bon.. En revenant à mes cheveux, ils sont longs, simplement et légèrement bouclés, m\'arrivant en bas des fesses lorsqu’ils sont complètement lisses, étant juste un peu plus haut normalement. Je ne les attache que quand je monte à cheval ou quand je me beigne émanant un risque pour le « bien-être » de ma chevelure. Il ne fait toutefois pas se méprendre ! J\'ai l\'air douce, aimable,fragile et calme, mais il ne faut pas se fier aux apparences ! Mes lèvres son pâles et pas très pulpeuse.Ma grandeur est dans la moyenne,et je ne dépasse pas beaucoup d\'homme de mon âge.J\'ai une silouhette mince et élancé,et mes mouvements son gracieux et agile.Je suis fluide et rapide.Je porte des vêtements quelques peu chic,mais pas trop.En faite,je créé mes propres vêtements.Je ne porte jamais de robe ou de décolleté,car c\'est TROP féminin -_-\'. Je ne me maquille pas non plus,car c\'est trop féminin aussi.Je suis faite pour le combat,alors...Je fait détourné le regard,bien malgré moi. Toutefois,je pensse que mon image et à la hauteur de mon comportement.

Caractère :

Je suis très calme et pausé. On me considère aussi comme un fantôme, un spectre. Laissez-moi vous expliquez. Je suis silencieuse et très discrète. Je n’aime pas vraiment le bruit, les foules, ,les spectacles, et tout le tralala. J’aime la solitude et le silence. Toutefois, contrairement à beaucoup de Nuke-Nin de mon entourage, je ne suis pas froide, colérique, assoiffé de sang, rancunière. Mais, bien malgré moi, je n’est aucun remords pour ce qu’il est de tué.Cependant, j’ai une certaine pitié envers les enfants. Nous sommes tous des imparfaits, non ? Donc, pour en revenir à mon psychologique, j’ai tendance à être la « plus aimable des miens », et encore même, Aimable est un grand mot. J’ai tendance à être septique, car au lieux de me lancer dans la mêlé, je préfère évaluer la situation et mettre au point un plan sans faille. Je suis une stratège, si vous préféré. Les gens on parfois une certaine crainte envers moi, car puisque je ne montre aucun sentiment sur mon visage, il semble que je ne ressent rien, et cela me rend mystérieuse. Certaine personne me trouve trop gentille, trop sensible. Toutefois, serions-nous des humains sans quelconque sentiments ? Je porte un point d’honneur sur la loyauté ainsi que sur l’honneur. Je garde facilement la tête froide, car tout à l’habitude de me laissez indifférente. Rien ne m’impressionne vraiment. Lorsqu’il est question de conclure un accord avec quelqu’un, je suis souvent l’envoyée car je ne perds pas facilement patience, contrairement à quelques un de mes confrères et consœurs. Je ne cherche jamais la bataille, ou la « Merde » si vous préféré. Je reste à l’écart des gens, car mon passé douloureux a laissez des traces permanentes. Je n’aime pas parler de moi, de ma vie, de mes sentiments, et donc, j’essaie d’éloigner les gens de moi. Parfois, je met fait brute, cachant mes réelles sentiments. Je ne suis pas une dure à cuire, mais je ne suis pas non plus une pleurnicharde.

Histoire :

Chapitre I : L’annonce du fléau.

Le clan n’a qu’un objectif, qu’un but ; Protégé l’épée. Cette lame, qu’on disait forgé par les dieux, donnait un pouvoir immense à celui qui osait la sortir de son fourreau et la brandir. Toutefois, jusqu\'à ce jour, une seule personne a eu l’audace de l’utiliser. : Kinachiu Tanaka, le fondateur de notre clan. Lui seule a fait verser le sang par les coups de puissance que lui avait promis Izasugie, l’épée des dieux. Toutefois, il est mort 5 jours plus tard. Le prix à payer, en échange du pouvoir de cette lame, est la mort.. À chaque génération avait son protecteur de l’épée. Et moi…Moi qui est née du corps de ma mère mourrante, la grande prêtresse du clan, je fut considéré comme le fléau, l’annonce de la perte de notre clan. Mais il faudrait que je vous raconte tout, depuis le début…

Des cries aigue et douloureux déchirèrent la nuit, en cette soirée froide et humide. Hayaté Tanaka mettait au monde son deuxième enfant ; Nariko. Toutefois, la mère savait pertinemment qu’elle ne survirerait pas à cette accouchement. Elle avait attrapée une maladie qui consumait ses forces. Chaque jours, une partie de sa force la quittait. Aujourd’hui était sans doute la dernière fois où elle verrais les êtres qui lui étaient cher…Puis, sentant sa fille presque détaché de son corps, elle fit un dernier effort pour permettre à son enfant de ne pas mourir avec elle. Le bébé quitta enfin le corps de sa maternelle, avant que celle-ci ne rende l’âme. Ce fut Mizuki, la meilleur amie d’Hayaté, qui prit pour la première fois la petite dans ses bras.

« C’est une magnifique jeune fille…..» Dit-elle en prenant garde au corps fragile de la nouvelle dans le clan.

« C’est un mauvais présage….» Dit un homme en regardant le bambin. «Nous devrions….»

«Tu n’y pense pas ! » S’écria Mizuki.

«C’est à Shen de prendre cette décision…» S’interposa le conseiller du clan.

Les regards se tournèrent vers un homme en retrait. Il avait des traits prononcés, un corps d’acier. Ses long cheveux noir était attaché en queue de cheval dans son cou. Les bras croisé, les yeux fermés, il soupira lacement en secouas négativement la tête.

«Je ne veut pas de cette enfant…»Laissât-il tomber.

«Mais enfin, maître Shen, c’est votre fille !»

«Il a pris sa décision, Mizuki. Vous ne pouvez rien y faire…»Répondit Yakashi, le conseiller.

«Non, c’est injuste ! Cette enfant est sûrement promise à un grand avenir. Sa mère était une femme forte et courageuse. Je suis sûr qu’elle suivra sa trace…Je vous en pris, maître Shen, laisser-moi prendre soins de cette enfant…»La suppliât-elle.

«Soit….Mais ne me la ramène pas…»L’avertie t-il. «Je ne la veut pas dans les affaires du clan …»
«C’est promis….» Répondit Mizuki en berçant tendrement la petite dans ses bras.«Tu t’appelleras Nariko. C’est ainsi que ta mère l’aurais souhaité..»

~7 ans plus tard~

Le soleil plombait majestueusement sur le village de Konoha No Kumi. Pour la petite Nariko, 7 ans, c’était le moment de la récréation à l’académie. Elle jouait dehors, seule, avec un vieux ballon qui avait été recousue a mainte fois. La petite fille aux cheveux de braise s’entraînait à faire driblé son ballon, en faisant rebondir sur son genoux, comme au soccer. Toutefois, une mauvaise manouvre envoyas le ballon plus loin, au pied d’un élève. Celui-ci le ramassa et regardas la petite fille avec un sourire cruel.

Ho ho…C’était Sinkashuni. Il était son pire ennemie, mais il faisait aussi partie du clan Tanaka. À l’école, quand personne n’était pas pour protéger Nariko, il en profitait beaucoup trop.. Le garçons de 9 ans s’avanças vers la filette, tenant toujours le ballon dans ses mains.

«Tiens tiens tien….Regardez qui voilà, les mecs…»Dit-il en pointant d’un léger signe de tête la gamine.«Si sa ne serais pas mademoiselle le fléau en personne !»

«Je ne suis pas un fléau ! » Crias la petite.

«Tu n’est qu’un démon ! Tu causeras notre perte, à tous ! »

Incapable de se contenir d’avantage, Nariko hurla un cri de guerre et se ruas sur le pauvre garçon. À mainte reprise, elle le frappas violement en plein visage. Ce fut les cries des autres enfants qui alertèrent les Jounins de l’académie. Ceux-ci se ruèrent sur Kaoru et la séparas de Sinkashuni, qui avait le visage en sang.

La petite Nariko fut amener dans le bureau de son surveillant, accompagné de Mizuki, après les classes. La petite fille aux cheveux roux s’assit sagement sur un petit siège, regardant honteusement ses pieds. Mizuki soupiras et regarda Gekiroh, son surveillant. Ce n’était pas la première fois que Nariko se battait avec un autres élèves. Le Jounin expliquas que si son comportement ne s’améliorais pas, elle serais retiré de cette classe. Puis, la jeune femme repartie avec la petite mal élevé.

«Voyons, Nariko, c’est la 4 ième fois que sa arrive ! Il va falloir que tu arrête ce cirque, et dès maintenant ! » L’avertie sa «mère ».

«Mais c’est pas de ma faute ! Sinkashuni n’arrête pas de me traiter de fléau et démon ! » Réppliquas la petite, énervé.

«Est-ce une raison pour le frapper ?»

La petite resta silencieuse, mais son esprit bouillonnait. Elle en avait marre que tout le monde la regarde bêtement, et l’évite. Qu’est-ce qu’elle avait fait de mal !? Rien ! Mais absolument rien ! Alors pourquoi les gens de son clan s’acharnaient sur elle ? Frustré, la petite prit la fuite et s’enfonças dans les bois. Mizuki l’appelas à mainte reprise, sans succès. Encore une fois, Nariko fuyait le problème…Haa, mais pourquoi cette enfant devait avoir une vie si difficile ? Au moins, elle retenait de son père un fort caractère, qui lui permettait de ce défendre à tout moment, même si les points n’étaient pas toujours la meilleur métode…

Ce ne fut que quelques heures plus tard que Nariko rentra enfin. Entendant la porte s’ouvrir, Mizuki se dirigeas vers la source du bruit et enlaça la petite en se rassurant de la voir saine et sauve. Elle serra l’enfant quelques instants, avant de la regarder avec un regard sérieux et un sourire malheureux.

«Nariko, il y a quelques choses dont je dois te parler….»

«De quoi tu parle, maman ?» demanda la petite, curieuse.

Mizuki soupiras lacement. Était-il trop tôt pour tout lui dire ? Non, elle avait le droit de savoir..La jeune femme prit une grande inspiration et se lanças.

«Je ne suis pas ta vrai mère, Nariko….»

«Quoi !? » articula Nariko avec difficulté.« Mais….Comment..?»

«Viens avec moi,tu vas tout comprendre…»

La jeune femme prit la petite par la main et elle l’emmena avec elle dans le salon. Il était tant qu’elle sache tout, et ce, depuis le tout début.

Fin Chapitre I : L’annonce du fléau
Prochain Chapitre : La menace grandit

Comment avez-vous connu Naruto Pandemonia :
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HJ : Mon histoire viens d\'un autre forum où mon perso s\'appelle NARIKO

Invité

Je pense que tu seras validée mais je ne suis pas admin ni modo donc je les laisse faire ....
Par contre dans ton histoire : saute moins de lignes et fais moins de retoures a la ligne sa facilitera la lecture. Et sa évitera les beug de retoure a la ligne au milieu des phrases. M'enfin place a Izaki.
Izaki te donnera tous les details pour avoir une bonne presentation et Ryu te donnera ton grade et te validera.
Bonne chance, en tout cas bienvenue.
Amuses toi bien.

Invité

Merci bien,j'attenderais leurs commentaires

Invité

Bienvenue Kaoru

Hum... tu as déjà un bon niveau de rp, et franchement, une belle écriture. Et tu dis que ça date d'il y a deux ans? Impressionne-nous! Tu nous fait deux très belles descriptions, et pourtant je suis sûre qu'il y a encore plein de chose a raconter sur le physique de mademoiselle *.*

Tant qu'a faire, joue le maximum, marque des points. Tu m'as donner envie d'en savoir plus!! Donc si tu veut bien, j'aimerais qu'au niveau de tes descriptions, tu nous en raconte encore, car vu les lignes que tu fait jusque sur ta silhouette, tes yeux et tes cheveux, tu dois pouvoir en faire plus en parlant d'autres choses! N'hésite pas, comme je dis toujours, va dans le détail : ses tics, son style vestimentaire, sa peau, ect... Là franchement je te fais confiance!!

Niveau mise en page : sa serais sympa que tu différencie le formulaire de tes descriptions(souligner et mettre couleur les champs a remplir, Nom, Prénom, Age ect...). L'italique est aussi une bonne solution pour que les textes soient allégés, plus facile a lire, de plus l'italique caractérise la féminité ( j'vous en apprend des choses, hein?! *.* ). Et si tu rajoute plus de lignes aux descriptions, faits les en paragraphes (pas trop quand même). Merci d'avance (après c'est aussi un conseil, c'est toi qui vois )

Enfin l'histoire, perso j'en demande pas 3 pages, mais un peu plus quand même, et plus ordonné.

Voilà, a ton tour de jouer, montre nous ce que tu sais faire, bonne chance.

Invité

Donc ! Volà un début,je post mes 2 autres chapitres plus tard !

Bonne lecture a tous

Invité

Un regale pour les yeux et le contenu !
Bravo...

Invité

Merci ! ...^^

Invité

Salut !

Bon, déjà il est vrai que tu es loin d'avoir un niveau de rédaction critique...

Mais néanmoins il serait apprécié que tu corriges tes fautes à l'aide d'un correcteur orthographique ou en te relisant.

Par exemple:

"Le prix à payer, en échange du pouvoir de cette lame, et la mort"

Là en l'occurrence je pencherais plutôt pour "Le prix à payer en échange du pouvoir de cette lame est la mort

Et j'ai été légèrement refroidis en remarquant quelques répétitions pour le moins excessives telles que:

J’aime la solitude et le silence. Toutefois, contrairement à beaucoup de Nuke-Nin de mon entourage, je ne suis pas froide, colérique, assoiffé de sang, rancunière. Toutefois, bien malgré moi, je n’est aucun remords pour ce qu’il est de tué. Toutefois, j’ai une certaine pitié envers les enfants.

Et d’ailleurs, ce n’et pas « je n’est aucun remords » mais « je n’ai aucun remords » car c’est de l’auxiliaire avoir dont il s’agit.

Mis à part ces petits défauts, je pense qu'il n'y a pas de problèmes potentiels dans ton écriture. J'attends tout de même de lire la suite car ton histoire m'a l'air assez original.

Au plaisir et bien cordialement, Shikamaru.

Invité

Chapitre II : La menace grandit

Avec le temps, beaucoup de chose change. Que ce sois l’environnement qui nous entoure, le physique des gens qui nous côtoient, ou encore, leurs mentalités. Mais au bout du compte, on s’aperçoit que tout est comme avant...

Les goûte d’eau glacial brûlait la peau de Nariko. L’adolescente de 13 ans tenant fièrement entre ses mains son Katana, couvert de saleté et de boue. Devant elle, son père ne semblait pas du tout fatigué, contrairement à sa fille. La jeune fille respirais bruyamment l’air frais du matin. Son exercices ne serait pas terminé tant et aussi longtemps qu’elle n’aurais pas réussit à le toucher, ne serait-ce qu’une seule fois. Elle devait réussit, il le fallait…En tant que future gardienne de Izasugie, l’épée des cieux. À peine était-elle en phase d’adolescente qu’elle devait commencer un entraînement intensif.

«Allons, c’est tout ce que tu sais faire ? Tu ne vaux même pas la peine que je m’énerve…» Commentas Shen d’une voix grave et autoritaire.

S’en était trop. Nariko brandit fièrement sa lame et bondit sur son père en lanças un terrible crie de guerre. Son arme passa à un cheveux près de toucher sa cible. Celle-ci avait esquivé sur sa gauche et fonçait à toute allure sur son adversaire. La jeune fille répliquas aussitôt. Elle mit sa lame en horizontale, pointé vers l’avant et elle la glissa entre le bras et le torse du jeune homme. Elle fit dévier son arme et celle si se collas contre la hanche du grand homme. Puis, d’un coup sec, Nariko ramenas sa lame vers elle. Celle-ci se frottas contre la veste de son père, y déchirant un large morceau de tissue. Un large sourire apparue sur le visage de la fillette. *Touché* pensât-elle. Alors qu’elle était satisfaite, rangeant son arme dans son fourreau, un coup de poing s’abattu dans son ventre et Nariko en eu le souffle coupé. Quand la main se retiras enfin, la fillette s’écroulas dans la boue, se tâtant le ventre avec douleur.

«Je n’est pas dit que c’était terminé…» Dit-il d’un ton sec.

La rage monta en la future gardienne et elle se retournas, montrant fièrement son poing. Quand celui-ci allait s’abattre sur le visage de son père, celui-ci lui assignas un puissant coup de poing sur la bouche de la jeune fille. Nariko fut propulsé contre un arme, où elle n’eu pas la force de se relever et de répliquer. Elle se lança glisser le long de l’écorce et tombas dans les flaques d’eau et de sable, se salissant encore davantage.

«Maintenant, c’est terminé..» Dit-il en prenant le chemin du village.

Il fallu quelques minutes à Nariko avant de pouvoir se relever et se diriger vers le coin du village assigné à son clan. Elle marcha avec difficulté, tenant son ventre d’une de ses mains. Quand elle vit enfin, au loin, l’emblème du Triquettat, elle soupira de soulagement et avanças encore, dans le chemin vide de gens. Nariko arriva enfin à sa demeure. Elle ouvrit péniblement la porte et s’écroula sur le parquet. Le seule souvenir qu’elle eu avant de perdre connaissance, ce fut la voix inquiété de Mizuki, qui l’appelait en vain.

Ce fut un picotement au visage qui réveillas Nariko de son profond sommeil. Quand elle ouvrit enfin les yeux, Mizuki lui lavait ses entailles sur sa peau avec de l’alcool. Pas étant qu’elle avait sentie ce picotement…Lentement, l’adolescente se relevas dans son lit, sous le regard inquiet de sa « mère ». Celle-ci lui somma de rester allongée, mais Nariko fit la sourde oreille. Elle avait des douleurs au ventre et un affreux mal de tête.

«Comment te sens-tu ? »Demanda Mizuki en mettant sa main contre le front brûlant de sa protégée.

«J’ai vue mieux…» Répondit la petite en se massant les tympans. «J’en est marre de toujours revenir, blessé et à moitié morte. Hier c’était mes techniques Suiton, aujourd’hui, mes techniques de Taijutsu et demain, sa seras l’Histoire de l’Épée. À quoi sa rime, tout ça ? »

«C’est pour que tu deviennes une Gardienne digne de se nom, Nariko.» Répondit Mizuki.

«Mais j’ai jamais dit que je voulait être un Gardienne ! » S’écria la petite.« J’en est déjà assez sur le dos avec tout ces ingrats qui me traite de fléau ! »

«Nariko ! » Répondit gravement sa mère adoptive.« Sa ne sert à rien de se lamenter.« Que tu le veuille ou non, tu devienderas la protectrice de Izasugie ! » Continuât-elle.

«Mais foutez-moi la paix, à la fin ! »

Nariko se laissas retomber sur le lit, en prenant un oreiller et en se le mettant contre le visage. Elle en avant plus que marre de ses entraînements intensif, de ses leçons sur l’épée des cieux et tout le tralala ! Et même, elle ne croyait pas une seconde que cette épée est été forgé par les dieux ! C’était du baratin, tout ça ! La jeune adolescente n’entendit même pas les pats de Mizuki, qui quittait sa chambre. Tout ce qu’elle voulait, c’était qu’on la laisse tranquille.

Le lendemain matin, Nariko se levas péniblement, s’assit à la table et mangeas tranquillement un toast. L’adolescente resta silencieuse quand Mizuki descendit de sa chambre pour venir prendre son petite déjeuné avec elle. Nariko se contentas de manger en vitesse, avant de prendre son sac remplie de stock et quitta la maison en se dirigeant vers l’endroit de son entraînement avec son père, Shen.

Quand elle arrivas sur les lieux, son paternel l’attendait déjà. Comme d’habitude, il semblait aussi enjoué qu’elle vis-à-vis cette entraînement. L’adolescente s’assit silencieusement devant son professeur, avant de sortir de son sac son livre d’histoire sur le clan et de d’attendre patiemment que son mentor prenne la parole.

«Je veut que tu me cite l’histoire d’Izasugie..»Dit-il sans trop d’enthousiasme.

L’adolescente feuilletas quelque secondes son livre d’histoire, avant de le refermé et d’ouvrir la bouche, sachant que trop facilement la réponse.

«Izasugie est l’Épée forgé par les cieux. Elle a été créé voilà déjà des centaines d’années. Elle prodigue un pouvoir immense à celui qui l’utilise, mais le prix à payer pour cette puissance est sa propre vie. Izasugie se nourrie d’abord de notre force, puis, elle nous vide de notre chakra, avant que nous ne mourrions d’épuisement.À chaque génération, il y a une personne désigné, une héritière, qui a le devoir de protégé l'Épée de toute personne malfaisante. Une seule personne à déjà utilisé Izasugie, et c’est Kinachiu Tanaka, le fondateur de notre clan…»

«Et pourquoi l’a-t-il utilisé ? » Demandas gravement Shen.

« Pour la protéger. Durant les premières années de notre clan, il y a eu beaucoup de rébellion vis-à-vis la puissante Épée que nous gardions secret. Nombreux sont ceux qui on voulue la volé. Et même, qu’un jour, ce fut toute une bande de puissant Shinobis qui s’attaquas à notre clan. Pour le bien des nôtres, Kinachiu a dû utiliser Izasugie, mais il en payas le prix…»

« Izasugie et une arme très puissante, Nariko. Un jour viendras où tu devrais te sacrifié pour la garder hors de porté des gens malfesant. Si cette arme venait à tomber entre de mauvaises mains, les répercutions qu’il pourrait y avoir serais catastrophique. C’est pour ça que je t’entraîne, moi Shen Tanaka. Le jour où tu devras protéger Izasugie n’est plus très loin, Nariko…»

Fin Chapitre II : La menace Grandit
Prochain et Dernier Chapitre : L'engagement

Invité

Chapitre III : L’engagement

Un craquement de branche, non, pleins de craquements de branche ! Nariko se réveillas en sursaut. Qui pouvait bien être debout à cette heure là ? Les pats mystérieux semblait ce diriger vers le temple, là où Izasugie était entreposer. Lentement, la jeune adolescente de 15 ans se relevant dans son lit. Elle se rua sur sa garde-robe, enfilant des vêtements plus adéquats et elle prit son Katana, qui reposait sur le bord de son lit. Elle ouvrit avec précaution la porte de sa chambre qui menait dehors et le spectacle qu’elle vit l’horrifia.

Plusieurs hommes et femmes gisaient sur le sol, inerte, dans une marre de sang. Nariko portas sa main à sa bouche, car l’odeur des cadavres régnaient dans l’air. C’était d’une puanteur atroce. Puis, au loin, elle vit une bande d’hommes, se diriger discrètement vers le table sacré d’Izasugie. Et ho, malheur ! Ils étaient tous armés jusqu’aux dents! Mais quelque chose de bien étrange attiras l’attention de Nariko. Sur la veste de chacun était cousu l’emblème du clan Tanaka !! Ce qui voulait dire que… C’était des traitres ! Des ennemies à même le clan ? Non, c’était impossible…Non ?

C’était l’heure d’agir, car Nariko savait pertinemment ce que recherchait ces traitres…Izasugie. Ils voulaient s’emparer ce son pouvoir mortelle. Quels idiots ! Ils signaient leurs arrêts de mort si ils brandissaient Izasugie ! Toutefois, pas avant qu’ils est semer mort et destruction sur leur passage..

L’adolescente brandit fièrement son Katana et resta silencieuse. À présent, les hommes entraient dans le temple.. La jeune femme ne devait pas les laisser faire. C’était son devoir en tant que Gardienne, non ? Donc, Nariko décidas d’entré elle aussi dans le temple, mais par la porte arrière. Ainsi, elle atteindrait Izasugie avant eu. Avec précaution, l’adolescente entra discrètement sans faire de bruit. Quand elle fut à l’intérieur, elle s’empressa de se diriger vers l’hôtel, où l’Épée majestueuse reposait, plus haut. Les hommes venaient de la repérer. Toutefois, elle eue tout juste le temps de prendre l’épée et la pointé agressivement vers le chef de la bande.

«Approchez encore seulement d’un poils, et je vous tue ! »

« Allons allons, Nariko. Si tu utilise cette Épée et que tu ne réussis pas à nous abattre, tout mourras atrocement…» Répondit une voix familière

.« De toute façons, tu n’auras pas le courage de l’utiliser…»

«On paris combien ?» Dit-elle en pausant la lame sous la gorge de son interlocuteur.

La pénombre lui empêchait de voir le visage de l’agresseur du temple, mais cette voix lui était trop familière. Tellement que s’en était effrayant.

«Toi aussi tu a envie de ce pouvoir, Nariko..» Fit la voix, un peu trop insistante. « Avec cette Épée, nous pourrions conquérir tout les villages ! Tout le monde nous craindrais ! Nous serions les maîtres du monde !»

«Ce n’est pas la voie que j’ai choisie..» Répondit simplement la jeune femme. «Et si vous ne quittez pas immédiatement les lieux en déclinant votre identité, je vous tue…»

La petite bande éclata un rire sonore. Visiblement, tout cela les amusait. Nariko commençait à penser qu’elle ne serait pas de taille face à ses Jounins… Toutefois, elle devait protéger Izasugie, c’était son devoir.

«Rira bien qui rira le dernier…»

Nariko prit une poigné de Kunai dans son sac, qu’elle plaça dans chaque espace de doigt. Dans un mouvement ultra rapide, elle plaça Izasugie dans son dos, en l’accrochant après une corde en cuire, et elle se recula vers l’arrière en lançant ses Kunais, qui furent que trop facilement paré par ses adversaires. Toutefois, pendant qu’ils avaient contré l’attaque, l’adolescente en avait profité pour s’échapper par la porte arrière. Elle défonça littéralement la porte de bois et elle courue dans les bois. Après quelques secondes seulement, elle vit une ombre passer à côté d’elle et celle-ci se plaças devant elle, lui barrant la route. Sur le chemin, le reflet de la lune illuminait le visage de son adversaire. Nariko resta bouche-bée en reconnaissant son père, Shen. Elle n’arrivait pas à y croire !

«Sa t’en bouche un coin, hein ? Tout cette entraînement n’était qu’une distraction, elle avait pour but de te laisser dans l’ignorance, et sa a magnifiquement marché..»

Tandit qu’il commençait une série de signe, la silhouette d’une femme se plaças au côté de Nariko, tout en faisant elle aussi une série de signe, mais plus rapidement. Quand la jeune femme eue terminée, elle gonfla sa poitrine et elle inspira à fond.

«Katon ! Gookayuu no Jutsu !»

La boulle de feux fila à toute allure vers la bande d’homme. Shen esquivas habillement, mais ses coéquipiers n’eurent pas cette chance. Ils furent atrocement consumés par l’attaque flamboyante. Quand le feux se dissipa, il ne restait que des cendres. Surprise, Nariko se retournas vers la femme qui l’avait aidé, et un sourire illuminas son visage quand elle reconnue le visage paisible de sa mère adoptive.

«Mizuki ! » S’écriât-elle, remplie d’une certaine joie intense.

«Nariko, a tu l’Épée ?» Répondit-elle, inquiète.

L’adolescente hocha positivement de la tête. Un mouvement dans son dos attira son attention. À sa droite, Shen avait reprit ses moyens et recommençait une série de signe

« Katon ! Ryuuka no jutsu !»

L’immense feu intense se dirigea à toute alors sur les deux jeune femmes. Nariko intercepta l’attaque de son chère père et elle se mit elle aussi au Ninjutsu.

« Suiton ! Suijinheki no jutsu !»

Une immense barrière d’eau enveloppa le périmètre de Mizuki et Nariko et le feu du dragon envoyé par Shen se fracassa contre la défense majestueuse de l’adolescente. L’attaque s’éteignit à petite feu, et des tonnes de fumés volèrent dans l’air. Quand la barrière d’eau ce dissipas, Nariko affichas un sourire satisfait et se tournas vers Mizuki.

«On l’a paré ! …. ???»

Plusieurs Kunais étaient plantés dans le corps de sa mère adoptive. Le visage de Nariko se figeas. Qu’est-ce qui c’était passé ? Mizuki fermas lentement les yeux et elle s’écroula au sol.

« MIZUKI !!!!!!!» Hurla sa protégée, en larme.

«C’est ce qui t’arriveras si tu ne me donne pas immédiatement l’Épée…» Répondit Shen, dans son dos, un sourire malsain sur les lèvres.

Nariko prit dans ses bras le corps inerte de sa mère et le serras de toutes ses forces, ses yeux embués de larmes. Comment ? Comment avait-il pue ? Pourquoi !??! La vie était si injuste… L’esprit en feu, Nariko se relevas lentement, la tête basse. Elle sortie de son dos la longue Épée.

«Tu te décide enfin à coopéré ?.......»

L’adolescente brandit fièrement l’Épée, en la pointant dangereusement vers son père. La colère l’aveuglait. Shen perdit son sourire et un air grave apparue sur son visage. Ils savaient pertinemment ce qu’elle essayait de faire… Ils s’avanças d’un pat, la voix grave et rauque.

«Si tu l’utilise, tu mourras…»

«Mais toi aussi…»

«J’ai d’autres Ninjas qui sont en route…» Dit-il en tendant la main pour qu’elle lui donne l’Épée.

Nariko hésita. Il ne lui restait rien… Mizuki était morte, son père était un traitre.. Dans tout les cas, elle perdait. La jeune femme commença à tendre l’Épée vers la main malsaine de Shen. Toutefois, elle la ramena d’un coup sec quand elle entendit sa mère, à bout de force ;

«Nariko ! Ne lui donne pas Izasugie ! Va t-en ! Sauve-toi !»

«Sa ne serais pas très prudent…»

Nariko regardas gravement son père. Celui-ci perdit son sourire confiant et fixas l’Épée, avant de reposer ses yeux dans ceux de sa fille.

«Tu n’oserais pas ?»

«Et oui…»

L’adolescente sortie de sa poche des fumigènes et les lança sur le sol. Une épaisse fumé mauve lui permit de bondir en l’air et de se diriger rapidement vers les murailles de Konoha. Quand son père réapparut, il lanças un série de Kunai. Sentant son heure arrivé, ne pouvant même pas esquiver , Nariko ferma lentement les yeux. Toutefois, quand le bruit des Kunais qui traverse la peau se fit entendre, Nariko ne sentie aucune douleur. Quand elle se retournas, Mizuki avait d’autre Kunais dans sa chair. Elle c’était sacrifié pour que sa fille adoptive prenne la fuite. Deux larmes roulèrent sur les joues de la l’adolescente.

Plus loin, Mizuki retombas lourdment au sol. Shen se penchas sur son corps et lui prit la racine des cheveux.

«Tu n’est qu’une salle foireuse…» Dit-il

«Voilà mon dernier cadeau d’adieux, Shen…»

La jeune femme se plantas un second Kunai dans sa peau. Celui-ci avait un parchemin explosif. Ouvrant grand les yeux, Shen bondit sur le côté, tendit que le parchemin explosa. Le père de Nariko tombas plus loin. Son plan avait échoué, car sa fille était partie avec Izasugie.. Toutefois, il restait un espoir. Si il racontait aux autorités qu’elle avait décimé leurs clans et volé l’Épée, elle se ferais poursuivre en tant que Déserteuse. Et ainsi, l’Épée des cieux lui reviendrais, et il pourrait achevé sa soif de domination. D’abord sur Konoha, et ensuite, tous les villages...

Fin Chapitre III : L'engament

[HJ : Présentation achevée et corrigée !]

Invité

[i]Suite passionnante !
Mais pourquoi as-tu changée de pseudo ?

Je vais lire la fin. ^^

Invité

Parce que s'aurais été long de remplacer le nom Nariko par Kaoru dans mon histoire ¬¬

Bonne lecture a tous !

Invité

Bon, un très belle histoire et passionnante. Pour moi plus rien a redire, donc pour ma part c'est bon pour cette fan de Sasuke...

Invité

Contente que sa vous a plue ^^

Chef d'Oto Messages : 376 Date d'inscription : 19/05/2008

• Hé bien & hé bien ça me parait correct tout cela ^^'
Sachant que nôtre Sasuke risque d'avoir des ennuis,... Son bras droit ne peut pas exister... Puis même.Les bras de sasuke sont l'Ex-Taka.Cependant,si tu convoites un titre équivalent,je peux te proposer un niveau Sannin avec le titre de Membre Supérieur Kyomû....

Enfin voilà, c'est au tour de Shika de re-passer...

Invité

D'acc ! J'accepte pour Sannin ! et Membres Supérieurs ^^
Donc,il ne reste qu'a Nara de donner son ipinion !

Invité

Hey et moi alors ?!

Mh...Oui bon je suis d'accord je peux rien dire d'autre !

(Shika ne soit pas sadico-despressif hein ^^')

Invité

Par pitié corriges moi ces fautes horribles pour les yeux telles que « Je n’est pas dit que c’était terminé » ou « j’en est marre » TOT

Je te l’ai dis, c’est le verbe avoir pas être… D’autant plus que je remarque beaucoup d’autres fautes de conjugaisons. >_<’

J’aimerais que tu fasses très attention à ces petites bavures dans tes futures rpg, mais à part ça je n’ai rien à redire !
Ton histoire est originale et j’étais totalement plongé dans l’univers de ton personnage. Bien joué ! Je te valide si tu me promets de faire plus attentions aux problèmes évoqués précédemment.

Au plaisir.

Invité

Je ferai plus attention !

Invité

Alors je te valides en tant que kyomu !