J'étais devant mon balcon, chez moi, vêtu d'un pyjama assez moulant de couleur vert avec un logo au milieu de mon t-shirts portant le signe d'un Faucon noir dans son envol. Je regardait le ciel, ces beaux oiseaux volant, chantant, le ciel bien bleu et le soleil rayonnant plus que jamais, je contemplait avec admirassions ces oiseaux, j'aimai ces oiseaux, ils m'ont toujours passionné depuis mon enfance et jusqu'à maintenant, tous en contemplant le ciel, je buvait du lait sortit tous droit de mon frigo, quelques minutes plus tard, après avoir fini mon délicieux lait, je jeta l'emballage et je partit sans réfléchire à l'endroit ou j'allais, je fit un bond de la barrière de mon balcon pour atterrir sur un toit d'une maison enface de la mienne, puis je fit se bond plusieurs fois de suite, je sautait, je sautait plus haut ... plus haut ... je voulais atteindre ces magnifiques oiseaux qui volait majestueusement mais je pouvais pas, la réalité me rattrapa très vite et reprit vite mes esprits.
*Direction ... Chez le Mizukage ... Mon fameux Cousin ...*
Je sautais de maison en maison, les personnes âgés commerçant n'ont revenait pas, j'étais rapide pour un ninja mais il est vrai qu'un Ninja de niveau Sannin se doit d'avoir une vitesse aussi élèvé mais je n'arrivé tous de même pas a la cheville de cette "éclair jaune", le grand et le plus puissant Hokage, le Yondaime, certain disent qu'il pouvait voler d'autre disent qu'il pouvait se téléporter d'un village a un autre, baliverne, aucun Ninja aurait cru ces mensonges, c'était presque irréelle mais je croyais a ces baliverne, je suis grand et fort mais dans ma tête je ne suis mentalement un enfant qui pense qu'a s'amusé et essayé d'atteindre ces rêves, j'était certe l'un des plus puissants ninja de Kiri mais face a lui j'étais q'un moucheron mais j'ai toujours pensé qu'un élève pouvait atteindre et même surpasser le niveau du maître alors a mes 18 ans, je décidé d'atteindre se Niveau pour enfin atteindre ma vengeance, un seul chose est sûr, les personnes qui ont tué ma soeur, vont souffrir plus que la mort.
Je continuer de sautait de maison en maison car de chez moi au Bureau du Mizukage, s'était pas a côté, bref après deux heures de routes, je vint enfin dans son bureau, j'entrai par la fênetre, le Mizukage avait l'habitude de mes entrée assez improvisé, j'étais debout devant le bureau de mon cousin, droit, sans aucun essouflement, car a force en n'avait l'habitude comme en le dit si bien souvent, la main droit dans ma poche droite, mes yeux fixerent froidement la chaise retourné de mon cousin puis enfin je pris la parole et dit froidement :
"Chère Mizukage ... quoi de beau aujourd'hui ?"
Après se "Chère Mizukage", je pris un voix enfantine et je demanda a mon Cousin si il y avait du nouveau dans ce village sans aucun probleme et calme.
Sujet: Dans le bureau du Mizukage 
Ven 11 Juil - 23:43